Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Viol d’une fillette À YIRIMADIO: La ministre Wadidié Founè appelle au respect de la dignité humaine
Publié le dimanche 6 fevrier 2022  |  Le Combat
Présentation
© aBamako.com par MS
Présentation du plan d`action gouvernemental PAG
Bamako, le 30 juillet 2021 le Premier ministre Choguel Maïga a présenté son plan d`action gouvernemental devant le CNT
Comment


Courant de la semaine dernière, les évènements qui se sont déroulés dans capitale malienne, sont d’une gravité au point que la ministre de la Promotion de la femme de l’enfant et de la famille, Wadidié Founè Coulibaly, s’est préoccupée de l’avenir des jeunes filles dans son pays.

Qui aurait cru que ces genres d’immoralité pouvaient se produire au Mali. Un pays connu pour sa grandeur dans le respect des règles de la vie humaine, surtout en faveur de la femme et de la jeune fille.

Autrefois, le Malien avait honte de certaines choses, aujourd’hui, il n’a plus honte. Notre société se dégrade de plus en plus. Cependant, courant la semaine dernière, la population a été témoin de certains actes bizarres.

À Yirimadio, une fillette de cinq ans a été violée par deux hommes. Ils courent toujours dans la nature. Une femme a aussi laissé des jumelles dans un taxi. Le 14 janvier, lors de la grande mobilisation pour soutenir la transition, des gens ont fait irruption dans une famille et ont violé une bonne et ensuite coupé sa tête.

C’est suite à ce phénomène qui prend de l’ampleur que la ministre de la Promotion de la femme de l’enfant et de la famille lors de sa visite chez la famille de la fillette violée s’est émue une fois de plus. « Aujourd’hui, moi, ministre de la Promotion de la femme, j’ai peur pour le Mali, peur pour l’avenir de nos jeunes filles. J’appelle au respect de la dignité humaine et celle de la morale malienne », martèle-t-elle.


Enfin, ce phénomène commence à devenir de plus en plus inquiétant dans le pays. Il faut que la société prenne sa responsabilité. Sinon, les filles sont en danger.

Lansine COULIBALY

Source: LE COMBAT
Commentaires