Les autorités de transition ont révélé mercredi la création d’un mécanisme de concertation. Son objectif : la définition d’un « chronogramme électoral consensuel », en vue d’une sortie de crise et d’une levée des sanctions actuellement imposées par la Cédéao au Mali. Mais ce mécanisme suscite des réactions plutôt mitigées.
Les autorités issues des coups d’Etat d’août 2020 et mai 2021 ont demandé une prolongation de la période de transition de quatre ans, jugée inadmissible par l’organisation ouest-africaine. Depuis, le bras de fer est engagé, mais le dialogue n’est pas clos, et c’est dans cette logique de dialogue que Bamako a mis en place ce mécanisme. Mais ce dernier suscite cependant des réactions plutôt mitigées de la part des acteurs impliqués, à commencer par la Cédéao elle-même, qui a publié un communiqué.... suite de l'article sur RFI