Malgré les sanctions de la CEDEAO et de l'UEMOA, censés l'asphyxier pour amener les nouvelles autorités à revoir leur position, le Mali a réussi à éviter le pire. Une prouesse qui surprend la communauté internationale, selon un observateur malien qui s'attend à ce que l’entrée en jeu des facilitateurs contribue à désamorcer la crise.
"Les sanctions imposées par l'UEMOA et la CEDEAO montrent que le peuple malien n'est toujours pas compris", déplorait le 11 février le colonel Assimi Goïta. Le Président de la transition malienne recevait le rapport final des Assises nationales de la refondation. Des concertations au cours desquelles les Maliens ont fixé les missions et un nouveau délai à la transition, prévue pour s’étaler entre six mois et cinq ans.... suite de l'article sur Autre presse