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SANTÉ; Maladies émergentes: la marche comme remède
Publié le lundi 14 mars 2022  |  L’Inter de Bamako
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Quiconque cesse de marcher, la santé l’abandonne car la peau sécrète de l’acide léptoniue). Hormone de paresse. Pourquoi doit-on marcher ? Je souhaite que chacun lise la réponse.
Nous marchons pour combattre le stress, les pressions psychologiques… Nous marchons pour diminuer nos poids. Nous marchons pour activer les fonctions des reins, du foie, des yeux… Nous marchons pour éviter l’inflammation du colon et les troubles digestifs. Nous marchons pour activer notre système immunitaire. Nous marchons pour activer nos muscles, nos os et renforcer notre santé. Chaque élément susmentionné mérite des séances de marche.
Les médecins et experts sont unanimes que la marche est un médicament qui soigne toutes ces maladies. Les médecins confirment encore que la marche joue un rôle très important pour soigner toutes les maladies organiques, mentales, psychosomatiques… et si un médicament aussi efficace que la marche existait dans le marché, les médecins le prescriraient dans toutes les ordonnances. La marche est un remède efficace et gratuit, mais, hélas, les malades hésitent toujours pour l’utiliser.

Un éminent médecin a prononcé cette belle affirmation: «Si un terrain de sport était aménagé autour de chaque hôpital et les patients y pratiquaient la marche, la moitié des malades les quitteront définitivement».
Dieu nous a créés pour marcher. Mais nous sommes cloués sur des chaises. Et lorsque les maladies nous envahissent, elles nous étalent sur des draps blancs au lieu de nous pousser à marcher. Bougeons pour que notre santé et notre bien-être demeurent.


SANTÉ
La cataracte
Les cas de cataracte deviennent plus fréquents du fait que la longévité a augmenté. Jadis redoutée des personnes âgées, cette affection provoque l’opacité et le durcissement du cristallin, lentille qui permet à l’œil d’accommoder selon la distance. Le traitement consiste à enlever ce cristallin.
L’intervention est simple et sans danger, mais l’opéré doit ensuite porter des verres épais conçus pour focaliser les images sur la rétine. Les verres de contact se montrent souvent avantageux et l’on a également obtenu de bons résultats dans certains cas par implantation de lentilles en plastique dans le globe oculaire. Mais aucune des lentilles ne pouvant être bifocale, des lunettes correctrices restent nécessaires pour la vision rapprochée.
Le poids non négligeable de ces lentilles épaisses gène ceux qui préfèrent les lunettes aux verres de contact ou aux lentilles incorporées. Les lentilles en plastique sont plus légères mais facilement rayables. Une solution consiste à utiliser le verre lenticulaire, normal ou bifocal, dans lequel seule la partie centrale est épaisse et taillée pour donner la correction nécessaire et dont les extrémités s’amincissent progressivement. On arrive ainsi à réduire le poids sans amoindrir la correction axiale, bien que la vision latérale soit un peu moins nette.

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