L’affaire de Dubaï Porta Potty déferle la chronique car les pratiques citées dans cette affaire sont inimaginables et déconcertantes. Elle a éclaté à travers des vidéos sur les réseaux sociaux, dans lesquelles on peut voir des filles dénommées « influenceuses » s’adonnent à des pratiques humiliantes pour en retour bénéficier d’un vrai pactole.
L’expression Porta Potty, signifie toilettes publiques. Elle regroupe un certain nombre de pratiques auxquelles se livreraient certaines escortes ou influenceuses, afin de gagner de grosses sommes d’argent. L’affaire de Dubaï est devenue visiblement un feuilleton avec de nouveaux épisodes chaque jour.
Il y a de cela quelques jours, la vidéo d’une jeune dame étant en train d’avaler les excréments d’un homme, a fait le tour du monde et alimenté le scandale. Une image de grande dame avec des moyens colossaux, telles sont les images données par plusieurs influenceuses qui seraient impliquées dans cette affaire horrible. Leur motivation ? Se remplir les poches et faire une belle vie en se pavanant dans des voitures de luxe dans les différentes capitales africaines.
Selon le site internet SeneWeb, la grille tarifaire des actes odieux et dégradants de Dubaï Porta Potty sont en effet alléchantes. Les influenceuses empochent ainsi entre 13.000.000 et 19.500.000 francs CFA en contrepartie des rapports sexuels avec plusieurs hommes. Alors que la défécation dans la bouche équivaut à pactole entre 32.500.000 à 39.000.000 de francs CFA, tandis que faire l’amour avec un chameau est payé entre 78.000.000 et à 97.000.000 millions de francs CFA. Lorsqu’elles acceptent de coucher avec un chien, le prix tourne entre 39 millions de francs CFA et 45, 8 millions de francs CFA.
Désormais, on parle plus des vidéos, car elles sont nombreuses, de même que les filles qui s’adonnent à la pratique. Dans les vidéos troublantes repérées, l’acte de bestialité était pratiqué en plein regard par les influenceuses à Dubaï. Une de ces vidéos a fuité après le scandale de pratiques indécentes des influenceuses Instagram à Dubaï avec de richissimes personnalités sous le Hashtag Dubaï porta potty. Selon certains utilisateurs de Twitter, l’acte dans cette vidéo est principalement pratiqué aux Émirats arabes unis, en particulier à Dubaï, où de nombreuses influenceuses courent et reviennent en peu de temps avec beaucoup d’argent.
Dans cette affaire, le célèbre ivoirien Général Makosso avait même publié une longue liste des pays concernés dans cette affaire. Et selon lui, le Mali compterait pas moins de 27 filles impliquées dans cette affaire rocambolesque.
Cela n’a pas manqué de susciter des vives réactions sur le sujet. Dans un post sur la toile, la romancière franco-camerounaise Calixte Beyala a donné son avis sur la polémique du moment. De manière cinglante, elle s’est expliquée en liant les pratiques du Dubaï Porta Potty au manque de féminisme et à l’abandon des traditions. Pire, elle n’a pas manqué de s’en prendre aux influenceuses qui sont de mauvais exemples pour la jeune génération. Pour elle, les politiciens ont aussi leur part de responsabilité dans la situation.
Pour rappel, depuis cette sombre affaire, l’influenceuse Mona Kizz s’est suicidée en se défenestrant du 7ème étage d’un hôtel spacieux de Dubaï. Cela s’est passé en plein milieu de l’affaire du Porta Potty de Dubaï. Mona Kizz, dont le vrai nom est Karungi, est originaire d’Ouganda et est très connue sur les réseaux sociaux. Certains pensent que l’influenceuse s’est suicidée parce qu’elle était dépassée par l’affaire, mais d’autres pensent que sa mort est liée à une histoire d’amour avec un ex-petit ami.
L’affaire Dubaï Porta Potty continue toujours à enflammer le débat sur les réseaux sociaux dans plusieurs pays d’Afrique.