Selon nos investigations menées minutieusement, il nous revient que certains politiciens apatrides se cachent derrière cette cherté. Ils sont très pressés de venir au pouvoir, selon nos sources.
Ils ont signé un accord avec certains opérateurs économiques pour rendre la vie très dure à la population qui est déjà étouffée par la cherté de la vie, témoignent nos sources. L’objectif de cet accord entre eux est de faire révolter la population malienne contre les autorités de la transition.
Selon toujours nos investigations, il y a pas de manque des produits de première nécessité qu’on a constaté sur le marché à travers nos enquêtes. Or, plusieurs magasins sont remplis de produits de première nécessité comme du sucre, du lait, de farine du mil et d’huile. Mais ces stocks sont cachés dans certaines maisons et dans certains endroits appartenant à des grands barons pour créer une crise alimentaire dans notre pays, comme le cas du ciment dans les mois passés.
Les autorités doivent revoir leur stratégie de lutte contre la vie chère. Parce que la méthode actuelle qu’elles adoptent contre les commerçants apatrides qui sont à la base de la hausse des prix des denrées alimentaire ne marche pas. Selon toujours nos enquêtes, certains agents qui sont déployés sur le terrain pour contrôler les prix des denrées et sanctionner ceux qui sont à la base de la hausse des produits sont les plus corrompus. Car, selon certains témoignages anonymes, certains contrôleurs prennent de l’argent à certains opérateurs économiques et commerçants et les laissent asphyxier le peuple malien.
Pour relever ce défi social qui est la vie chère, le Gouvernement a tenu un communiqué des ministres extraordinaire le dimanche dernier. Nous avons constaté qu’il y a eu une erreur sur le prix du ciment car le prix du ciment était en baisse ; certains vendaient la tonne du ciment local à 100 000 FCFA et le ciment importéde 105 000 à 110 000F. Mais le gouvernement, lors du conseil des ministres extraordinaire, a fixé le prix du ciment importé à 115000 FCFA. Affaire à suivre.