Alors que l’Afrique de l’Ouest est confrontée à une résurgence de coups d’État militaires dans un contexte de crise sécuritaire, plusieurs institutions internationales appuyées par l’ONU sont à la manœuvre pour rendre coercitif le protocole additionnel de l’organisation sous-régionale sur la démocratie et la bonne gouvernance.... suite de l'article sur Jeune Afrique