Quatrième (4ème) article de l’an 2023 et 52ème au total depuis janvier 2019 date correspondant à la tenue de la frauduleuse Assemblée Générale sur instigation et manigance de Abdoulaye Sall,
Les membres fondateurs, dégoutés, se rangeant en spectateurs pour certains et en observateurs attentifs pour d’autres, ont du mal à imaginer le comportement sans scrupules de ce monsieur en dépit de la pétition lancée contre lui en juillet 2021 et surtout en dépit de la gifle judiciaire à lui infligée par la Cour d’appel depuis mai 2020 dans la plainte l’opposant au Conseiller Permanent/Organisateur en chef et autres au sujet de l’Association Cri-2002 dont il est étranger à l’initiation en janvier 2000.
Comme maintes fois affirmé, Sall est un personnage qui s’affirme dans le mal sans vergogne et sans aucun mea culpa pour ce que ses deux mains ont accompli de funeste durant son long et périlleux règne à la tête de Cri-2002, comme 2ème président.
Par peur de retomber dans la galère financière (pension de retraite ne suffisant pas à couvrir le train de vie fourni par l’association Cri-2002), Sall s’accroche bec et ongles à ce qui lui reste comme source de revenu confortable : Cri-2002 !
Même les deux véhicules, propriété de Cri-2002, sont confisqués et personnalisés pour cette fin. Sauf que là, il y a des limites, une ligne rouge qu’il ne saurait franchir au risque de s’exposer à l’infraction ‘abus de biens sociaux. Comprend bien qui pourra pour le bonheur de tous les sociétaires Cri-2002 et à la satisfaction des membres fondateurs, et mieux les deux survivants du trio initiateur : maître Touré (notaire) et maître Berthé (avocat)
Une association de la trempe de Cri-2002, créée par un ancien premier ministre qui avait le sens du patriotisme, la vision de l’avenir et le don de rassembler ne peut être laissée à la solde d’un seul homme et de sa petite clique de proches (venue par affinité familiale et amicale sans aucune conviction ni engagement pourvu qu’il y ait à brouter). C’est tout simplement honteux tant les fondements bâtis par feu Maître SOW, 1er Président DEVOUE et DEMOCRATE, sont royalement foulés au pied.
Une assemblée générale vidée de sa quintessence par l’Arrêt de la Cour d’Appel
A défaut de démission immédiate qui devait être la règle d’or en la matière, il ne restait à Abdoulaye Sall qu’à organiser une autre Assemblée générale s’il en a vraiment le culot car chat échaudé craint l’eau froide.
En effet, une Assemblée générale truquée débouchant sur un bureau frauduleux fut l’objet de plainte contre Sall aux fins de freiner ses agissements aventuriers et irresponsables au sein de Cri-2002.
Ainsi, la Cour, constatant la mauvaise foi manifeste de Sall d’exclure du bureau les membres fondateurs (non invités d’ailleurs à l’Assemblée Générale, excepté le Permanent) pour former HONTEUSEMENT un bureau taillé sur mesure et ne répondant pas aux critères d’adhésion à Cri-2002, déclare nulle et de nuls effets la décision d’exclusion rédigée et signée par Abdoulaye Sall sous le coup de la colère suite à la contestation de sa qualité de Président de Cri-2002 et de ses rapports (narratif/financier) fabriqués. Ah oui, jusque-là Abdoulaye Sall considérait l’association Cri-2002 comme élément de son patrimoine personnel de par ses faits et gestes. Et la contestation lui rappela la dure réalité : à la création Sall n’était pas.
Ce verdict, tombé comme un couperet pour Sall le fautif, était attendu par ses victimes très éprises de justice et de progrès pour leur association à but non lucratif et apolitique que Sall a insidieusement dénaturée tout au long de sa présidence entièrement chaotique car ne satisfaisant que ses intérêts personnels au détriment de l’intérêt associatif.
Un bureau fantoche dont 98% de nouveaux membres (tous ramassés dans la rue parmi ses connaissances) n’ont plus jamais mis pied au siège Cri-2002 depuis l’AG contestée du 12 janvier 2019 et objet de plainte au tribunal
C’est la preuve la plus éclatante que Sall roule pour ses intérêts personnels et non pour les idéaux associatifs dont il n’a que faire.
Dans sa vie, Sall a visé et entrepris mille et une chose qui ont tourné court, aucune réussite comme l’illustre la création de l’ONG fantoche Mali 2001. Et voilà l’association Cri-2002 qui lui sert de marchepied et le sort de l’ornière. Paradoxe, c’est ce bel instrument qu’il met sens dessus dessous dès lors que ça ne répond plus à ses aspirations personnelles comme si l’association avait été créée par lui et pour lui oubliant actuellement qu’il est devenu président de la façon la plus hasardeuse. Prenez quelques secondes de réflexion et rappelez-vous monsieur Sall ! Que de chemins parcourus et que d’obstacles surmontés par le collectif ! Et c’est vous seul qui dévorez les fruits de ce labeur. Ayez un minimum d’humilité et dégagez. Votre temps est révolu à 75 ans de vie dont 19 ans passés à patauger à Cri-2002.
De quelle Assemblée générale et de bureau se prévaut Sall pour gesticuler au nom de Cri-2002 ? En résumé, quelle légitimité et légalité a-t-il ? Rien. Il doit avoir vraiment honte de prononcer le mot Cri-2002 ou de l’écrire devant son nom. L’éthique et la morale diminuent de nos jours mais n’ont pas totalement disparu de la terre et ne disparaitront jamais entièrement de cette terre. Décidément, Sall est un CAS SINGULIER dans le mauvais sens au propre comme au figuré. Il en existe rarement autant parmi sa génération que parmi la jeune génération. Et Dieu merci ; autrement ce serait le drame.
Les implications de l’Arrêt de la Cour d’Appel
En lieu et place du respect de la loi et des textes fondateurs de Cri-2002, Sall s’entête, ignorant par appât du gain et soif de pouvoir qu’il part tout droit au mur, étant un éternel abonné à la négation des évidences et du normal.
L’obstination de Sall d’agir illégalement et illégitimement au nom de Cri-2002 le discrédite simplement aux yeux de l’opinion publique et particulièrement aux yeux des observateurs avertis de l’association. Pour cela, il prend le risque d’être frappé par la décadence sociale, cette dégringolade faisant que la société te regarde du coin de l’œil comme pour dire ce monsieur aussi, c’est lui-là, ceci, cela ; tout, en termes de réprimandes morales et éthiques. Même ce qu’il tire encore de cri-2002 comme avantages financiers a ce goût de fruit de traitrise, donc un goût amer à avaler. Dure voie de survie pour un septuagénaire au crépuscule de sa vie et dont l’avenir est dans le rétroviseur !
Sall ne doit s’en prendre qu’à lui-même, l’homme n’écoutant aucun conseil, mouvant au gré de ses propres illuminations et désidérata tel un oiseau solitaire qui poursuit sa course dramatique.
Bref, le triste constat est que Sall, c’est un tragique accident que subit Cri-2002 en plein fouet à ranger rapidement dans l’oubliette aux fins de poursuivre le vaste chantier tracé par feu Maître SOW, le fondateur.
Se servir des énergies collectives pour assouvir ses besoins individuels est haram
Si feu maître SOW a posé les jalons pour la réussite de Cri-2002 à l’échelle nationale, Sall a fait rabaisser l’association à un niveau insoupçonné de par ses combines, manigance et manipulations.
La promotion personnelle a trop duré et a fait trop de dégâts à l’association Cri-2002 comme relevé dans le rapport d’évaluation en 2014 ; rapport aux conclusions interprétées par Sall comme une flatterie à son endroit alors qu’il se fourvoie lourdement.
En effet, quel crédit accorder à une organisation où il n’y a aucune séparation entre la direction, l’administration et les finances ? C’est le fourre-tout. Voilà le grand danger des retraités qui viennent s’abriter derrière le manteau de société civile pour combler le vide de leurs derniers jours. Ils ne peuvent jamais agir comme des acteurs professionnels de la société civile qui y sont à la fois par engagement et conviction.
Depuis belle lurette, les membres fondateurs (vivants) de Cri-2002 ont cessé de se reconnaitre en Sall à cause de son désir effréné de cavalier seul, de prendre l’association en otage sans vergogne. Les qualificatifs manquent pour décrire à satiété les agissements de ce monsieur atypique qui se plait à répéter que les gens ne l’aiment pas. Comment peut-on l’aimer avec des tares pareilles qui s’empirent ?
Sall a bien la réponse mais demeure incapable de s’amender car derrière un tel comportement, il y a un dessin inavoué de faire main basse sur les fruits (bien matériels et financiers) du labeur commun. Inacceptable !, d’où la fronde dont Sall ne peut aucunement sortir indemne.
Bref, Sall s’agite seul sans bureau, sans légitimité dans un statut frauduleux aux antipodes des textes de la République après avoir royalement piétiné les textes fondateurs de l’association Cri-2002, son bienfaiteur.
Photo symbole de passation entre Sall et le 1er Président Me SOW