Au Mali, à l’orée de la semaine du référendum constitutionnel du 18 juin, les anciens rebelles du Nord continuent de s’opposer à la tenue du scrutin. Ils estiment que la nouvelle loi fondamentale, défendue notamment par le Premier ministre, ne prend pas en compte les dispositions de l’accord d’Alger.
LE MATCH DE LA SEMAINE – Existe-t-il encore des sujets d’entente entre l’ancienne rébellion indépendantiste et le gouvernement malien ? L’application de l’accord de paix d’Alger est en panne sèche. Le dialogue peine à reprendre entre la principale coalition de mouvements signataires et les autorités de transition. Et les deux camps bandent les muscles.