Alors que les militaires nigériens auteurs du putsch parlent de destitution du président Mohamed Bazoum, la Cédéao parle plutôt d’une tentative de coup d’Etat. Une façon pour l’organisation sous-régionale d’insister sur sa décision de ne reconnaitre que Bazoum comme chef de l’Etat nigérien. Pour cette raison, elle indique avoir reçu, au cours de sa session extraordinaire des chefs d’Etat et de gouvernement tenue le dimanche 30 juillet à Abuja au Nigeria, le représentant de Mohamed Bazoum.