Au Mali, les forces militaires présentes dans le nord cherchaient, depuis hier, à déterminer la provenance des tirs à l'arme lourde qui se sont abattus sur la ville de Gao. Le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) a revendiqué, ce mardi 8 octobre, les tirs ainsi que le dynamitage, ce mardi 8 octobre au matin, du pont à Bentia, au sud de Gao et à 50 kilomètres de la frontière avec le Niger. Et il prévient que « les attaques contre les ennemis de l'islam vont continuer ».
On le disait mort, blessé et disparu. Abou Walid Sahraoui refait surface et c’est une pièce maîtresse du Mujao - il est le porte-parole du mouvement – qui, au nom de tous les islamistes du nord du Mali, revendique les attaques à l’arme lourde contre la ville de Gao il y a maintenant 24 heures, et le dynamitage, ce mardi 8 octobre, d’un petit pont situé dans la même région de Gao, non loin de la frontière nigérienne.... suite de l'article sur RFI