Le taux d’alcoolisme atteint parfois 35% chez les fonctionnaires. Les cabarets et maquis se multiplient. Il est devenu un fait de notoriété publique, hypothéquant le développement du pays en augmentant la violence, notamment dans la jeunesse. Une des hypothèses de la persistance du malheur africain évoquée par René Dumont est le développement de l’alcoolisme.