Guida Landouré, responsable syndical de l’hôpital de Point G, a posté sur sa page facebook, le 5 septembre, un message selon lequel il a été empêché de sortir du pays malgré un ordre de mission de l’Usttb. «S'ils le font pour me démoraliser, ils ont tapé à côté. Qu'ils demandent encore plus à mes proches. Je suis consciencieusement épanoui et aucun sabotage de ma personne, de mes sources de biens et de mon travail ne peut me faire dévier de mes principes et de mon
idéal, celui du bien-être pour les autres d'abord avant le mien, celui de la justice sociale et de la bonne gouvernance
».
Le syndicaliste signe et persiste : «Comme je leur aidit, qu'ils me disent juste ce que j'ai volé dans ce pays, le complot auquel j'ai participé et les agressions physiques ou verbales que j'ai tenues envers quelqu'un.
Tout ce pour quoi je lutte au Point G, c'est le respect des droits de nos militants et l'amélioration des soins pour les pauvres, soins qui sont loin de ceux que nos gouvernants offrent à leurs familles à l'extérieur».