Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article
Politique

Pôle économique et financier de Bamako : des transitaires et acolytes placés sous mandat de dépôt « pour faux et usage de faux »
Publié le mercredi 18 octobre 2023  |  Le toguna
Evasion
© aBamako.com par mouhamar
Evasion de à la Maison Centrale d`Arrêt de Bamako
Bamako, le 16 juin 2014. Un certains nombres de détenus s` est évadé à la suite d` un échange de tire.
Comment



Pour « faux et usage de faux » portant sur un présumé détournement de 20 milliards de nos francs, plusieurs transitaires et leurs acolytes demeurent placés sous mandat de dépôt par le pôle économique et financier de Bamako.

L’information ayant fait le tour de la toile nous a été confirmée par plusieurs sources. L’émission du présent mandat de dépôt a eu lieu en date du jeudi, 12 octobre dernier, contre plusieurs transitaires du
pays. Des indiscrétions venant des mêmes sources, il ressort que les présumés coupables sont cités dans un présumé détournement d’un montant se chiffrant à 20 milliards F CFA au préjudice du trésor public. Il s’agit notamment du sieur G. S, un des responsables de Wassa transit, M. T. Directeur général adjoint de Kene Transit.

A ces derniers s’ajoute le cas du sieur Haïdara, gérant de Salah Transit et un certain A. Traoré. Sur la liste des personnes poursuivies se trouvent certains associés.

Conformément à la constitution du pays,indique-t-on, toutes les personnes citées continueront de bénéficier de la présomption d’innocence jusqu’à ce que leur culpabilité soit établie par la juridiction
compétente. Ce qui insinue simplement qu’elles ne peuvent aucunement être considérées comme coupables de ces faits qui leur sont reprochés, précise-t-on. Se fiant à d’autres sources, des opérateurs
économiques et leurs complices auraient également été placés sous mandat de dépôt par le pôle économique et financier de Bamako en plus de plusieurs transitaires. Certaines personnes pourront éventuellement être interpellées dans les jours à venir, révèle-t-on.
Commentaires