‘’La résurgence massive du risque terroriste pourrait entraîner une partition du Mali dans les semaines ou mois à venir’’, a osé déclarer, le 11 octobre dernier, devant le Sénat français, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu.
La réponse du berger à la bergère ne s’est pas fait attendre. En voilà ‘’des propos biscornus’’ ! Mais pas que. Ils sont aussi ‘’subversifs et irresponsables’’, a sèchement répliqué le gouvernement malien, comme il en a pris l’habitude depuis la détérioration de ses rapports avec ‘’la junte française…complice passive’’ de cette ‘’atteinte à l’intégrité territoriale du Mali’’.