En 2012, après la destruction de la Libye la France projetait de s’implanter au Nord du Mali. Objectif inavoué de Sakozy : réaliser un vieux rêve de l’ex-puissance coloniale afin de s’accaparer des immenses ressources de cette zone. Les ressources en eau y sont les plus importantes de la planète dit-on !
Comment et par quelle stratégie machiavélique intervenir dans cette partie du territoire malien ? La question était longtemps posée dans les allées du pouvoir à Paris. Et comme on le sait, c’est sous le mandat de Nicolas Sarkozy, maître d’œuvre du chaos en Libye, que la France, en complicité avec l’Otan, a finalement déclenché sa stratégie de déstabilisation/destruction qui, après l’assassinat de Khaddafi, s’est étendue au Mali. Inutile d’y revenir…
Cette déstabilisation du Nord Mali entreprise en complicité avec certains chefs d’Etat de pays voisins précisément Abdel Aziz (Mauritanie) et Blaise Campaoré (Burkina Faso) est à l’origine de tous les problèmes sécuritaires actuels au Sahel.
Cependant, la combine orchestrée à Paris et visant à la création d’un fantomatique État de l’Azawad en complicité avec la racaille de Kidal est désormais voué à l’échec. Les nouvelles Autorités maliennes, sous le leadership d’Assimi Goïta, n’entendent céder aucune portion du territoire malien. Et l’armée est désormais engagée dans une dynamique de reconquête et de déploiement à Kidal et dans toutes les autres localités du septentrion. Ce ne sont ni les soutiens occultes français aux terroristes (une plainte malienne est sur la table du Conseil de sécurité de l’ONU) qui arrêteront les FAMA dans cette mission de salubrité nationale.