Dans la matinée du lundi 2 juillet, les islamistes d’Ansar Eddine ont repris leur entreprise de démolition des lieux saints et mausolées de Tombouctou, en s'en prenant même à une mosquée inscrite au patrimoine mondial de l'humanité. Par la voix de sa procureure, Fatou Bensouda, la Cour pénale internationale (CPI) a menacé de poursuites les auteurs de ces destructions, qualifiées de "crimes de guerre".
Les islamistes d’Ansar Eddine ont repris, lundi 2 juillet, leur entreprise de destruction des mausolées de la ville de Tombouctou en détruisant l’entrée de la mosquée Sidi Yayia, située au sud de la ville. « Les islamistes viennent de détruire l'entrée » de ce monument classé au patrimoine mondial de l’Unesco, a rapporte un témoin de la scène. « Ils ont arraché la porte sacrée qu'on n'ouvrait jamais ».... suite de l'article sur Jeune Afrique