L'audit de la section des comptes de la Cour Suprême sur le sulfureux marché d'achat de l'avion présidentiel <
Selon ledit rapport que Le Sphinx a survolé de ses longues ailes, Le Boeing BBJ 737-700 IGW 1999 a été acquis suivant un contrat libellé en anglais et signé le 10 février 2014 entre le gouvernement représenté par le ministre de la Défense et des Anciens combattants (Soumeylou Boubeye Maiga, ndir) et Akira Investment Limited PO Box 659 Road Town Torla British Virgin Islands représenté par Kerry WrightPar ailleurs, l'argument selon lequel la nécessité cuisante de l'achat d'un avion de commandement justifiait la procédure d'urgence est battue en brèche par la section des comptes qui rappelle que l'aéronef étant une dépense du chapitre équipement d'investissement, son acquisition ne doit pas être inspirée, mais plutôt à travers un programme.Pour elle, le recours à l'urgence n'est pas appropriée en la matière
En plus, le ministre de l'Économie et des Finances d'alors, Mme Bouaré Fily Sissoko, a ordonné le paiement de 18.586 milliards de FCFA avant ordonnancement alors que les crédits budgétaires n'étaient que de 5.500 milliards de FCFA au niveau des charges com- munės. Le reliquat de l'avance, -soit 13.086 milliards de FCFA a été payé en l'absence de crédits budgétaires..Et le pire est que l'Agent comptable central du Trésor (ACCT) qui n'est pas comptable assignataire de dépenses, a procédé au paiement sur la base d'instructions et de factures non signées.Alors que les factures produites par AIC ne comportent pas de références bancairesPaiement sans aucune pièce justificativeLa réalité dans cette affaire est que l'argent du Mali a été décaissé alors qu'il n'y a pas de pièces pouvant justifier la légalité de ces paiements en l'absence de contrat de l'aéronef libellé en français le procès-verbal de réception a été signé par une commission légalement constituée et l'attestation de service fait par le conseiller du gouvernement, en l'occurrence une société dénommée AIC et qui a joué à l'intermédiaire dans les transactions. C'est le lieu de faire remarquer que le vendeur, la société Akira Investment n'apparaît nullement dans le cadre des règlements financiers qui ont été effectués. L'avance, soit 13.086 milliards de ECFA, a été payée en l'absence de crédits budgétaires.
Et le pire est que l'Agent comptable central du Trésor (ACCT) qui n'est pas comptable assignataire de dépenses, a procédé au paiement sur la base d'instructions et de factures non signées.Alors que les factures produites par AIC ne comportent pas de références bancaires.
Paiement sans aucune pièce justificative
La réalité dans cette affaire est que l'argent du Mali a été decaissé alors qu'il n'y a pas de ces pouvant justifier la légalitété de ces paiements en l'absence de contrat de l'aéronef libellé en français le procès-verbal de réception a été signé par une commission légalement constituée et l'attestation de service fait par le conseiller du gouvernement, en l'occurrence une société dénommée AIC et qui a joué à l'intermédiaire dans les transactions. C'est le lieu de faire remarquer que le vendeur, la société Akira Investment n'apparait nullement dans le cadre des règlements financiers qui ont été effectués. Il n'y a aucune trace de sa facture!Au total, c'est donc 41 250 000 USD que l'État malien a versé à des intermédiaires dans cette affaire, parce qu'aucune facture émanant du vendeur lui-même n'a pu être produite devant les auditeurs de la Cour.Il est bon de rappeler que le principal intermédiaire n'est autre que Mare Gaffajoli, le représentant de Michel Tomi, le parrain des parrains de la mafia corse et ami et frère de l'ancien Président malien, feu Ibrahim Boubacar Keita.
Un avion acheté à 7,5 milliards et surfacturé à 21 milliards
Comme Le Sphinx Y'a dit, le gouvernement n'a pas été en mesure de produire une quelconque pièce pouvant justifier que l'avion est bien acheté et demeure une propriété du Mali.Selon l'article 18 de la Convention de Genève sur l'aviation civile internationale, la nationalité d'un avion est son pays d'enregistrement. En clair, c'est un avion d'Aruba que le régime IBK a déclaré payer à hauteur de 20 milliards. 21 milliards selon le Premier ministre Moussa Mara lors de son interpellation par les députés.La réalité est que, comme l'a dit votre journal préféré à l'issue des investigations menées auprès de ses radars aux Etats- Unis et en Australie, on résidait le couple de producteurs de télévisions le vrai propriétaire de l'aéronef. l'avion présidentiel a coûté 7.5 milliards de FCFA.C Ce qui sera confirmé par le ministre de la Défense et des Anciens combattants, feu Soumey lou Bonbéye Maīga, ..