Tout commence en 2016. Pour les besoins de renforcement des mesures de sécurité à l’aéroport international de Bamako, le Mali signe un contrat de partenariat avec la société Securiport.
Selon la version du procureur général de la Cour suprême du Mali, « dans ce contrat, le prestataire devrait recevoir 75 % des revenus et l’État malien, 25 %. Cependant, la justice a constaté la disparition de la page du document mentionnant que l’État devrait recevoir 25 % des revenus ». Il annonce . . .