Si l’histoire du 8 Mars fait explicitement référence au grand rassemblement de plus de 15000 femmes dans la ville de New York pour réclamer une réduction du temps de travail et une meilleure rémunération et le droit de vote pour les femmes, elle est sans doute l’aboutissement des combats menés par les femmes pour plus de droits et d’autonomie. De 1908 à nos jours beaucoup de progrès ont été faits dans le sens de l’émancipation de la femme même dans les pays les plus conservateurs. Dans la foulée de la célébration de cette mémorable journée du 8 mars, l’ organisation pour la cohésion et le développement des Droits humains, l’OCD international fédéralitude Suisse, a mis le curseur sur les actions humanitaires de sa Présidente la Comorienne Sandia Karima Boina, une humanitaire hors pair qui a 24 ans d’action sur le terrain, en Afrique, en Asie et en Europe. Co-fondatrice de plus de quatre ONG et membre de l’association fédéralitude Suisse, Mme Karima Sandia Boina est une amazone intrépide au service des plus démunis. Son parcours humanitaire plein d’embuches est la preuve de son engagement pour aider les pauvres sans distinction de sexe, de couleur, de religion et même de provenance. Voici en quelques lignes la philosophie qui sous-tend les actions de cette brave dame qui s’est mise au service des autres et cela depuis plus de trois décennies
Née aux Comores dans l’océan indien et basée en Suisse, la présidente de l’OCD International Fédéralitude Suisse fait désormais partie de ces braves femmes qui ont dédié leur vie et tous leurs biens pour rendre les autres heureux. Cette humanitaire hors pair se bat depuis plus de trois décennies pour soulager la souffrance des personnes démunies et en situation d’handicap. Elle dit vouloir préserver la dignité humaine dans les tumultes dévastateurs provoqués par les agissements humains et les caprices impitoyables des catastrophes naturelles. Son engagement, indéfectiblement guidé par les principes inaltérables, se dresse comme un rempart contre l’indifférence, plaçant au centre de son essence la sauvegarde des vies et de l’atténuation des souffrances où qu’elles puissent sévir.
L’humanité, l’impartialité, la neutralité et l’indépendance sont les piliers sur lesquels s’élève son action : « L’humanité, inscrite dans mes actions commande que chaque vie soit préservée, chaque souffrance allégée, sans distinction ni discrimination. L’impartialité dicte que notre réponse soit uniquement dictée par l’ampleur des besoins, transcendant toute forme de partialité. La neutralité exige que notre action ne favorise aucune partie, qu’elle demeure insensible aux conflits armés et autres différends. Enfin , l’indépendance prévient toute intrusion d’objectifs politiques, économiques, militaires, ou autres, détournant ainsi notre noble mission».
Pour Sandia Karima Boina, la protection des civils et de ceux qui ne participent plus aux hostilités, la fourniture essentielle de nourriture, d’eau, d’abris, et de services de santé sont autant de préceptes qui guident sa quête humanitaire. L’application scrupuleuse du droit humanitaire international, du droit des réfugiés et des droits de l’homme sont les boussoles qui orientent son chemin. Tout en reconnaissant la responsabilité première des Etats envers leurs citoyens elle s’efforce de mobiliser des financements souples et rapides inscrivant ainsi m la solidarité au cœur des actions humanitaires. La répartition équitable des fonds en fonction des besoins identifiés et des évaluations objectives est la clé de voûte de son action.
En somme, Karima Sandia Boina conjure le monde entier de comprendre la détresse qui l’étreint. Si malheureusement, dit-elle, ses ennemis devaient lui ôter la vie que son combat persiste, que ses idéaux demeurent vivaces, que l’humanité en détresse et les générations futures trouvent dans ses plaidoyers une voie vers l’espérance et le salut : « Mon engagement ne fléchit pas, car il est ancré dans la conviction que l’humanité mérite une défense inlassable, une protection sans faille, et une compassion indéfectible ».