Symbole fragile d’un système de démocratie malien mal parti sous Amadou Toumani Touré (ATT) à travers son discours à la Conférence nationale: «Que Dieu sauve le Mali». À la première législature (1992- 1997) l’Assemblée nationale comptait 116 députés répartis entre onze partis politiques. L’ADEMA- PASJ (parti au pouvoir) avait 76 députés dont plusieurs anciens secrétaires généraux de l’ancien parti unique (UDPM).
Pour ses 100 jours à la tête du Mali, le président Konaré avait invité Michel Rocard qui était son mentor et l’avocat de sa cause auprès du Parti socialiste français. Il aurait invité ce dernier parce qu’il est brillant et controversé comme lui-même, Alpha.