Les observateurs avertis de la politique malienne sont tous unanimes : le dialogue inter-Maliens pour la paix et la réconciliation nationale (sic) initié pour trouver une alternative crédible et consensuelle à l’Accord d’Alger mis au rébus par les autorités de la Transition, a accouché d’une souris. Il a été même galvaudé si l’on s’en tient aux recommandations et résolutions faites au président de la Transition, le colonel Assimi Goïta qui n’ont rien à voir avec les thématique du jour . . .