La Cour pénale internationale a levé vendredi les scellés sur le mandat d’arrêt visant Iyad Ag Ghaly, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité commis à Tombouctou entre 2012-2013.
C’est en 2017 que la CPI avait été émis sous scellé le mandat d’arrêt contre cet homme, présenté comme le dirigeant d'Ansar Dine, le groupe extrémiste lié à Al-Qaïda qui détenait le pouvoir dans le nord du Mali à l'époque.
Celui qui est aussi connu sous le nom d'Abou Fadl, fait notamment l’objet des accusations de viol, d'esclavage sexuel et de persécution de femmes et de filles pour des motifs liés au genre.
Selon l’accusation, l’islamiste serait aussi derrière l’attaque contre une base militaire qui avait tué 40 soldats maliens. Des hommes qui ne participaient pas aux hostilités.... suite de l'article sur Autre presse