La Cour pénale internationale de La Haye a levé, vendredi dernier, les scellés du mandat d’arrêt qu’elle a émis en 2017 contre le malien Iyad Ag Ghali, chef militaire touareg et dirigeant d’un groupe terroriste affilié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). Ce mandat d’arrêt est accompagné d’une demande de coopération pour l’arrestation et la remise du suspect, adressée aux «autorités compétentes de tout État pertinent». Une allusion claire à l’Algérie où réside Iyad Ag Ghali sous haute protection.
Par Mohammed Ould Boah