Les parties signataires de la déclaration commune du 31 mars 2024 alerte l’opinion nationale et internationale sur « le chemin de la dictature empruntée » par les autorités de la transition. Elles soutiennent ces 10 grands leaders privés de leur liberté.
A travers un communiqué rendu public, les parties signataires de la déclaration du 31 mars 2024 ont apporté leur soutien aux 10 leaders politiques qui sont actuellement en prison. Pour les parties signataires de la déclaration commune du 31 mars 2024 alertent que ces pratiques d’une autre époque des autorités en place, ne font que confirmer le chemin de la dictature emprunté depuis un certain temps dans le seul but de s’éterniser au pouvoir et de réduire au silence toutes les voix démocratiques et républicaines au Mali. ‘’ Les parties signataires de la déclaration commune du 31 mars 2024 notent avec regret et consternation cette énième violation des libertés fondamentales et condamnent avec la dernière rigueur ces arrestations arbitraires, violant la constitution et toutes les lois du Mali en l’occurrence celles relatives aux libertés individuelles et collectives’’, ont-t-elles affirmé. Elles continuent en exigeant aux autorités en place, la libération sans délai des camarades injustement arrêtés et ont pris attache pour ce faire avec leurs avocats y compris le barreau du Mali car un avocat figure parmi les personnes arrêtés en violation de la procédure indiquée.
Dans le communiqué, les parties signataires de la déclaration commune du 31 mars 2024 demandent à leurs militants et sympathisants de se tenir prêts et mobilisés autour de leurs premiers responsables dans ce noble combat pour la survie de la démocratie et de la sauvegarde des libertés du pays. ‘’ Elles aviseront des prochaines actions à entreprendre’’, a dit les parties signataires de déclaration commune du 31 mars 2024.