Nos pays ne se limitent pas aux foules visibles à Bamako, Ouagadougou et Niamey. Il existe une multitude de populations vivant le long de nos frontières. Il est impératif de se rapprocher d’elles, car elles vivent les problèmes au quotidien et constituent une part essentielle de la solution. Nous excellons dans le patriotisme verbal, mais il est temps de passer au patriotisme pratique.