Persistance de l’insécurité, affaiblissement prévu de la Minusma, difficultés à financer la reprise économique... Le représentant de l’ONU au Mali, Bert Koenders, et le ministre malien de la Réconciliation nationale, Cheick Oumar Diarrah, ont plaidé devant le Conseil de sécurité pour que la communauté internationale ne se désintéresse pas du pays.
Face à une situation sécuritaire tendue, la Minusma se sent démunie. C’est du moins ce qu’a fait comprendre le représentant spécial de l’ONU au Mali, Bert Koenders, dans une déclaration, mercredi 16 octobre, devant le Conseil de sécurité. "La mission a besoin d’hélicoptères (...) pour accéder aux zones reculées afin de protéger les civils", a-t-il dit. ... suite de l'article sur Jeune Afrique