Si le crime remonte du temps de feu IBK, il persiste et demeure en outre impuni voire cautionné sous cette transition. Il s’agit de l’affaire, que disons-nous, du scandale du patrimoine bradé de l’État du Mali.
C’est en effet sous le régime défunt d’Ibrahim Boubacar Kéïta, que plusieurs bâtiments publics ont été cédés à certains opérateurs économiques à des prix . . .