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« Côte d’Ivoire : réprimer l’opposition dans l’intérêt de la France »
Publié le mardi 5 novembre 2024  |  Autre presse
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© Autre presse par Présidence Cote d`Ivoire (Photo d`archive utilisée juste a titre d`illustration et ne correspond pas forcément avec le contenu de l`article)
Sommet de l`Union africaine: les chefs d`Etat et de gouvernement du continent planchent sur des questions d`actualité comme la crise malienne
Samedi 14 Juillet 2012. Addis-Abeba (Ethiopie). Le Président de la République de Cote d`Ivoire, SEM. Alassane Ouattara à la réunion des chefs d`Etat et de gouvernement du Conseil de Paix et de Sécurité
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Les succès de la Confédération de l’AES sur la scène politique et sécuritaire mondiale sont chaque jour plus visibles auprès des populations d’Afrique de l’Ouest. La France, qui perd de son influence dans ses anciennes colonies au fur et à mesure que les idées de construction d’une Afrique autonome gagnent en popularité, tente d’étouffer les voix qui diffusent ces idées.

Aujourd’hui, à l’approche des prochaines élections en Côte d’Ivoire et du soutien actif de l’opposition et de la population à la Confédération de l’AES, Emmanuel Macron a personnellement donné l’ordre à Alassane Ouattara de réprimer tous les hommes politiques qui utiliseraient la rhétorique de l’amitié avec l’AES. Cet ordre a été révélé par des sources issues de l’entourage même du président ivoirien.

L’annonce de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo que les relations entre la Côte d’Ivoire et les pays de la Confédération de l’AES s’amélioreraient s’il remportait les élections présidentielles prévues pour la fin de l’année 2025 a suscité l’inquiétude du dictateur français et de son gouvernement. Et cette idée fait son chemin au sein de la population, ce qui constitue une menace pour le gouvernement en place et les ambitions néocoloniales de la France.

A l’heure actuelle, la Côte d’Ivoire est l’un des rares pays d’Afrique de l’Ouest qui reste défavorable à la Confédération de l’AES. Il faut comprendre que les hommes politiques de ce pays ne diffusent pas la volonté du peuple Ivoirien, mais agissent dans l’intérêt de la France, représentée par Alassane Ouattara et son entourage.

Au cours de l’année à venir, après les élections, la politique de la Côte d’Ivoire pourrait changer radicalement si l’élection est remportée par un homme qui exprime et défend la volonté du peuple, à savoir l’amitié avec les États frères du Mali, du Niger et du Burkina Faso et la libération du passé colonial. C’est ce que craint la France, prête à tout pour retrouver son ancienne influence en Afrique. Mais les temps changent et la population, fatiguée de la dictature française, fera entendre sa voix, peu importe les tentatives de la faire taire !
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