Coupe de la confederation africaine de football : Fin de course pour les Blancs de Bamako #aBamako

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Coupe de la confederation africaine de football : Fin de course pour les Blancs de Bamako

Publié le lundi 21 octobre 2013 | Le Pouce

© aBamako.com par A S
Sport/football: 53è édition de la coupe du Mali. Djoliba AC 0-1 Stade malien
Bamako, le 11 juillet 2013 au stade Modibo Keita. En match comptant pour la finale de la 53è édition de la coupe du Mali, le Stade malien de Bamako a dominé le Djoliba AC sur le score de 1-0 et s`adjuge le trophée.

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Malgré leur défaite à l’aller (1-2) à domicile, les supporters stadistes avaient un petit espoir de qualification pour la finale. Certains d’entre eux pensaient que les Blancs allaient rééditer l’exploit de 2OO9. Mais, malheureusement, lors du match retour joué le samedi dernier, l’espoir a cédé place à la désillusion et à la déception, surtout quand le capitaine du Tout Puissant Mazembé, Trésor MPutu a marqué d’entrée de jeu sur un penalty douteux. Score final : 1-O. Du coup, le Stade dit adieu à la coupe CAF 2O13.

Arrivée par tâtonnement en demi-finale, cette équipe du Stade Malien n’a jamais pu montrer, tout au long de ce tournoi, l’image d’une équipe en confiance. Dans ses rencontres, l’équipe du coach Pascal Janin, dominait pratiquement ses adversaires. Mais, elle a toujours péché dans les derniers gestes, c’est-à-dire face aux buts. Par exemple, lors de cette rencontre face au Tout Puissant, tous les joueurs offensifs du Stade Malien (Mamadou Coulibaly, Morimakan Goïta, Lamine Diawara, Moussa Diawara, Souleymane Dembélé, Abdoulaye Sissoko) ont, eu chacun, une occasion de but. Mais, par maladresse, ils ont tous raté ces occasions de but. De même, la défense du Stade n’était pas aussi à la hauteur. Elle manquait de stabilité et d’agressivité. Les défenseurs sont toujours en mauvais placement. Alors qu’à ce stade de la compétition, l’erreur se paie cash.

Il faut maintenant tirer les leçons de cette élimination et se remettre vite au travail pour de lendemains bien meilleurs.
Siriman DOUMBIA

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