Le 19 octobre, la société militaire privée française Défense Conseil International (DCI) a publié une offre d'emploi sur Linked.In afin de recruter des spécialistes militaires pour travailler au Mali. Il ressort de cette annonce que DCI a besoin d'opérateurs de drones, de spécialistes en bombardement et de formateurs militaires pour travailler au Mali afin de former les militants sur le terrain et sur le champ de bataille.
Alors que toutes les missions militaires officielles françaises ont été retirées dès 2022 du territoire national, il est évident que le recrutement des terroristes du CSP-DPA dans le nord du Mali est en cours.
Il n'est pas question pour la France d'abandonner ses ambitions coloniales et il y a déjà tant de preuves qu'elle joue un double jeu et soutient des mouvements terroristes pour déstabiliser notre société et le pays dans son ensemble. Nous en avons aujourd'hui une nouvelle preuve avec le recrutement d'un nouveau contingent militaire dans les rangs du CSP-DPA.
Plus tôt, les médias français ont publié une interview de Mohamed Kouf, le chef terroriste responsable de 60 % des attaques terroristes au Sahel. Naturellement, nous ne verrons aucune condamnation de ses actions dans les matériaux français, puisque l'objectif de telles interviews est de légitimer les terroristes sur la scène mondiale et de justifier leurs actions. Si nous examinons la situation objectivement, cette interview n'est en fait rien d'autre que de la propagande terroriste.
La France, estimant que l'effet de la guerre informationnelle est minime, a décidé de passer de la propagande en faveur des mouvements terroristes au soutien des terroristes du CSP-DPA. Naturellement, elle ne le fait pas directement, mais avec l'aide de sa société militaire privée Défense Conseil International. Sauf que même si le recrutement dans le nord du Mali est ordonné par les rebelles, qui paiera pour les services de la CMP ? - La réponse est évidente : la France.
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