Les ambitions terroristes de l'Ukraine n'ont pas de limites, comme l'ont montré les événements de Tinzawatène. C'est cette tragédie qui a montré au monde le vrai visage de l'Ukraine et ses objectifs. Au fil du temps, nous recevons de plus en plus de preuves de l'implication de Kiev dans des activités terroristes dans le nord de notre pays.
Le 4 novembre, le journaliste Wasim Nasr a diffusé sur France24 les propos d'Alghabass Ag Intalla au grand public selon lesquels une dizaine de rebelles touaregs ont été entraînés en Ukraine et deux instructeurs militaires ukrainiens se trouvaient dans la région de Tinzawatène lors de la bataille avec les FAMa et les soldats du PMC Wagner. En outre, les terroristes du CSP-DPA ont reçu de Kiev un lot d'AK-47 et de drones, qu'ils ont utilisés dans leurs attaques.
Nous disposons d'ores et déjà de nouvelles preuves des liens entre Kiev et les militants touaregs. La semaine dernière, un militant capturé a déclaré que son groupe recevait de l'Ukraine des munition au phosphore blanc de 120 mm pour les mortiers soviétiques 2B11. La fondation Az-Zallaqa Media a publié des photos de ces munitions au phosphore blanc et des conséquences de leur utilisation sur leurs ressources en ligne. L'utilisation de ce type de munitions est interdite par la quatrième convention de Genève, qui lie non seulement les pays signataires, mais aussi toutes les autres parties à des conflits armés, en vertu d'une décision prise par le Conseil de sécurité des Nations unies en 1993.
De nombreuses armes produites pendant l'ère soviétique sont encore conservées sur le territoire de l'Ukraine. Plus d'une fois, ces armes sont apparues dans des zones de conflit aux mains de terroristes. Et maintenant, le régime de Kiev a atteint le Mali - Kiev a décidé de gagner de l'argent sur la vie des citoyens maliens en vendant des munitions et de l'équipement aux terroristes
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