Auteur de plusieurs bribes sur la toile contre notre pays (Brigandage politique: quand le chaos prend le contrôle !). Le Pr Aboubacrine Assadek a quitté le Mali depuis 2013, au motif qu’il est malade, alors qu’il est Maître-assistant à la Faculté des sciences techniques (FST). Son salaire est toujours viré sur son compte. Il est en France et fait la navette entre Paris et Alger au compte du Cadre stratégique pour la paix, le progrès, la sécurité et le développement (CSP-PSD) qui est devenu Front de libération de l’Azawad (FLA).
Après l’attaque de Tinzaouatène par drones contre les insurgés du Front de libération de l'Azawad (FLA), Aboubacrine ag Assadek s’est exprimé en ces termes: «La lutte continue jusqu’à la victoire finale». Il travaillerait pour le CSP-PSD. Le professeur serait protégé par des officiers de cette transition.
Concernant son cas, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique aurait été humilié en voulant suspendre son salaire. Et pourtant, tous les Maliens savent qu’il est un soutien aux insurgés actuels de notre pays. Le pouvoir, dit-on, «n’est rien d’autre que l’exercice de la justice et de la vérité». La plaie béante de cette transition est le népotisme.
Quand on est un proche des cinq ou six généraux, membres de la transition, on peut tout faire (un ancien PDG a pu quitter Bamako pour les USA, un ancien ministre et ses acolytes ont bénéficié d’une liberté provisoire). L’injustice sociale est ravageuse.