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Quid des autres détenus et le retour des exilés…
Publié le mardi 10 decembre 2024  |  Le témoin
Contrôle
© aBamako.com par Androuicha
Contrôle démocratique du secteur de la sécurité
Bamako, le 23 juin 2015 à l`hôtel Salam. Sur initiative de l`Institut National Démocratique (NDI), les parlementaires venus du Burkina-Faso et du Niger ont échangé avec leurs homologues maliens sur la bonne gouvernance du secteur de la sécurité. (Photo honorable Karim Keita, pdt de la commission defense à l`AN)
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Comme la libération des 11 détenus politiques, les organisations signataires de la Déclaration du 31 Mars avaient également plaidé en faveur de la libération des « détenus politiques », notamment Issa Kaou Djim, Ras Bath, de Rose Vie Chère, Etienne Fakaba Sissoko et Adama Ben le Cerveau. Accusés de trouble à l’ordre public, d’atteinte au crédit de l’Etat, entre autres chefs d’inculpation, ils restent en prison. Et pour l’heure, aucun signe n’annonce leur éventuelle libération. Et, par-delà les détenus d’opinion, la décrispation ne sera complète qu’avec la levée des menaces qui pèsent sur d’autres acteurs politiques contraints à l’exil. On y dénombre notamment les membres du gouvernement en exil, le président de l’UDD Tieman Hubert Coulibaly, l’ancien PM d’IBK Boubou Cissé, son ancien ministre des Finances Mamadou Igor Diarra, les deux fils d’IBK Karim et Bouba, Ainéa Ibrahim Camara et El Hadj Oumar Abdou Touré de Kaoural ou encore le président de la Codem, Housseini Amion Guindo devenu clandestin à cause de ses positions tranchées..



Amidou Keita
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