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Les Echos N° 4153 du 28/10/2013

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Djibril DRAME, entraîneur des Aigles : « Le match contre la Côte d’Ivoire est très important »
Publié le lundi 28 octobre 2013  |  Les Echos


© L’Essor par Dr
Djibril Dramé et ses joueurs ont commencé leur stage de préparation le 30 septembre dernier


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Les Echos - Pour Djibril Drame qui pense que l’inefficacité dans le dernier geste a pénalisé l’équipe lors de son match face au Burkina, le Mali jouera crânement sa chance et tentera Je remporter face à la Côte d’Ivoire, car il a des arguments. Entretien. Les Echos : Vous êtes frustrés ce soir ?

Djibril Drame : Non. Parce que mon équipe sur le plan tactique n’a pas démérité, les joueurs ont su gérer le match du début à la fin. Donc globalement ce qui est à retenir est cet aspect.
Les Echos : Vous ne craignez pas la fébrilité de votre attaque

D. D. : Vous savez l’entame.de toute chose est difficile. L’appétit venant en mangeant, je pense que je serai en mesure de pouvoir corriger cette défaillance pour pouvoir retrouver nos marques. C’est difficile, ça s’annonce dure, mais encore une fois c’est corrigible.

Les Echos : Surtout face à la Côte d’Ivoire pour votre second match ?

D. D. : Ce match face à la Côte d’Ivoire sera très important pour nous. Il s’agira d’imposer notre jeu à l’adversaire. Nous devrons, face à un tel adversaire, devant son public, le prendre par la gorge. Nous savons que nous n’avons plus droit à l’erreur et ce match nous invite à aller droit au but et sortir tout ce qu’il faut pour la marche vers la finale.

Les Echos : Qu’est ce qui a manqué face au Burkina ?

D. D. : C’est l’inefficacité devant le but. On a eu beaucoup d’occasions sans pouvoir les concrétiser. Cela arrive parce que les joueurs ont confondu vitesse et précipitation. Il fallait s’attendre avec une telle situation où il faut se mettre dans le sens du jeu et la surface
de contact utilisée joue également un grand rôle. Malheureusement, tout cela n’était pas au rendez-vous face au Burkina. Maintenant il faut analyser froidement le match contre le Burkina et apporter des correctifs. Sinon du point de vue qualité de jeu, évolution de la base au sommet, complémentarité et cohésion, on ne peut rien reprocher aux joueurs. On voit qu’ils ont fait le boulot, mais c’est au niveau de la finition qu’ils ont péché. L’essentiel c’est ça aussi. Je préfère une équipe qui joue très mal, qui gagne le match, à une qui joue très bien et n’arrive pas à gagner.

Les Echos : Quel est l’objectif que vous, vous êtes fixés en venant à Abidjan ?

D. D. : Vous savez qu’il est difficile de participer à un tel tournoi pour faire de la figuration. On est venu pour jouer à notre manière et apporter match par match et voir ce que cela donnera par la suite.

Propos recueillis à Abidjan par

BOUBACAR DlAKITÉ SARR

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