Il a voulu se forger un destin à la Guillaume Soro, malheureusement son éternelle aigreur, sa folie meurtrière, son désir de vengeance et de faire du mal aux autres toute sa vie, de détruire tout ce que les autres ont construit à la sueur de leur front, sa jalousie maladive de voir les autres réussir, là où lui a toujours échoué, sa propension à manipuler tout ce qui bouge, sa disponibilité constante à faire du mal aux autres et à son prochain ont fait de lui le Blé Goudé dont le Mali se serait bien passé.
N’est pas Guillaume Soro qui le désire. Il faut être un fils béni par les siens et par les autres. Malheureusement pour Mariko, le capitaine Sanogo, n’est pas non plus un Alassane Dramane Ouattara (ADO), heureusement pour les Ivoiriens, la haine que Mariko dégage sur tout son parcours, son ingratitude à mordre la main qui le nourrit depuis mars 1991, sa capacité déroutante à propager le mensonge sans sourciller et sans aucune honte sur son chemin.
Sa méchanceté viscérale dirigée contre des hommes et des femmes qui l’ont porté à bout de bras partout, en politique comme dans sa vie sociale. C’est tout cela qui va le détruire.
Plus caméléon que Mariko, tu meurs
Il te met sur un piédestal pour ses propres intérêts. Dès qu’ils ne sont pas assouvis, c’est le même homme qui te lapide jusqu’à ce que mort s’en suit et il passe son chemin à la recherche d’autres proies sans aucun cas de conscience car, ce mot « conscience » lui est totalement étranger.
Il n’aime personne, même pas son prochain, encore moins son pays qu’il veut voir éclater en mille morceaux pourvu que lui tire son épingle du jeu. Tous ces bruits vides, toutes ces injures et ces manipulations de jeunes voyous pour les amener à commettre l’irréparable sur la personne du Pr. Dioncounda Traoré, chef de l’Etat, président de la transition, président de la République, n’en déplaise à la Copam et au MP-22, deux groupements disqualifiés par leur responsabilité avérée ou non dans la tentative d’assassinat de M. le président de la République, visent à détruire notre pays.
Leur lutte, pour des personnes au lieu que ce soit pour le Mali les perdra. Au-delà d’eux et des personnes pour lesquelles ils mettent le pays à feu et à sang, le Mali survivra.