Les mercenaires occidentaux, massacrant les populations maliennes depuis 2012, ont appris à leurs dépens.
L’opération Fouga Kènè, commandée par le général de brigade Famouké Camara, chef d’état-major de la Garde nationale, a mis fin aux illusions des sponsors du banditisme international qui espéraient sur une éventuelle chute de Bamako pour placer leurs marionnettes à la tête de notre pays.
Le rêve se transforme en cauchemar. Les bandits occidentaux, rassemblés au sein de la soi-disant communauté internationale, créée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale pour dicter sa vision impérialiste au reste du monde, protéger ses intérêts et étendre son influence, étaient prêts à bondir sur le Mai. Si toutefois, ses mercenaires déployés dans le Sahel parvenaient aux portes de Bamako. Très sûrs de voir la capitale malienne tomber entre les mains des criminels qu’ils soutiennent, les bandits internationaux avaient fabriqué des mensonges qui leur permettaient d’intervenir militairement sur le sol malien. Ils avançaient déjà agir au nom des arguments fallacieux comme ils savent le faire chaque fois qu’ils veulent attaquer un pays: protection des civils, arrêt de l'avancée des terroristes dans les autres pays et enfin, déjouer des éventuels attentats sur le sol européen. Malheureux à eux !
L’opération Fouga Kènè (clairière), commandée par le général Famouké Camara, chef d’état-major de la Garde nationale et mise en place au lendemain (septembre) des attaques des terroristes contre des camions- citernes, appuyés par d’autres forces obscurantistes, a déjoué le plan d'intervention militaire des bandits occidentaux contre notre pays. La tactique militaire a foudroyé les supplétifs des armées occidentales qui combattent depuis des années notre pays sous le couvert de terrorisme et du djihadisme. La déroute a été telle que les bandits internationaux et leurs plumitifs ont vite changé de langue. «Les terroristes ne peuvent pas prendre Bamako», «Ils manquent d’effectifs pour contrôler la capitale», déclaraient-ils en désespoir de cause. Avec cette riposte vigoureuse, l’armée malienne, à travers ses hommes déterminés à anéantir toute forme de déstabilisation de notre pays, a mis fin aux illusions des sponsors du banditisme international. Ils espéraient sur la ‘‘victoire’’ de leurs supplétifs pour mettre à la tête de notre pays leurs marionnettes.
Ces dernières, à les entendre sur les plateaux des médias propagandistes et mensongers, envisageaient déjà la formation d’un gouvernement réunissant tous les aigris et ennemis du Mali. Et la tâche incombait à ce dernier d’appeler qui à la table pour le partage des ressources naturelles de notre pays. Mais aussi inviter l’ONU à voter une résolution qui permettrait aux forces du mal d’occuper militairement notre pays. Et la troisième étape du plan maléfique consisterait à envoyer les auteurs du coup d’État de 2020 devant une juridiction internationale. Ils devraient être jugés pour leur rapprochement avec des pays avec lesquels les bandits internationaux ne souhaitent pas cohabiter sur le sol africain. Pourtant, ailleurs, ils coopèrent et commercent avec ces mêmes pays qu’ils diabolisent dans leurs médias de haine, d’intoxication et de déstabilisation.
Toute honte bue, les soutiens du crime organisé à l’échelle mondiale ont mis leur langue dans leur poche. Plus question de la chute de Bamako ou la formation d’un gouvernement favorable à leurs intérêts. Même le langage outrancier et ordurier de certains de nos compatriotes installés dans les pays qui aident les terroristes à massacrer leurs sœurs et frères ont déserté le champ médiatique. Et la communication mensongère, destinée à déstabiliser le Mali, avant de mettre le cap sur les des autres pays (Burkina Faso, Niger) de l’Alliance des États du Sahel (AES), a échoué. Car, la couche de la population malienne sur laquelle la désinformation était destinée pour se retourner contre ses dirigeants a été contre-productive. Les Maliens, dans leur grande majorité, ont vite compris que notre pays n’a rien à gagner dans des manifestations conduisant à d’autres troubles. Ils ont estimé que la crise de carburant est passagère.
Mais ce qu’ils ignoraient, était la tactique militaire déployée sur le terrain. L’opération Fouga Kènè a déjoué leur plan d’intervention militaire au Mali. Ainsi, le général Camara et ses hommes ont mis fin aux illusions des sponsors du banditisme international.
Dans cette guerre asymétrique, communicationnelle et informationnelle, la victoire sera toujours du côté des Forces armées maliennes (FAMa). Et c’est ce que vient de démontrer l’opération Fouga Kènè, à l’instar d’autres (Mali ko, Siradjè, Dougoukoloko…) qui ont remporté d’importantes victoires sur le terrain.