Cela fait déjà quelques jours que la ville de Bamako qui avait connu un temps de répit salvateur est retombée dans une pénurie qui ne dit pas son nom. Ainsi, en l’espace des dernières soixante-douze heures, la quasi-totalité des stations-service ont fermé pour manque d’approvisionnement de carburant. Devant les rares stations disposant de la denrée précieuse, les files d’attente se sont rallongées pour atteindre (…)