Aujourd’hui alors que notre pays vit l’un des moments les plus difficiles de son histoire, c’est ce moment que certains hommes politiques et non les moindres trouvent le moyen de paralyser la nation par des luttes personnelles et d’égocentrisme mal saint sans penser à libérer le pays du joug dans lequel il se trouve. Décryptage.
Nous sommes loin d’être dans les temps de campagne électorale, ni à un quelconque referendum. Mais un moment où tout le monde doit s’unir pour sauver le Mali de son naufrage. Il faut donc que tous les acteurs s’unissent et parlent d’une même voix pour sortir le pays de cette impasse qui devient insupportable, fatigante et irrespirable. Je veux dire le vrai Malien digne de ce nom.
La volonté de venir à leur fin par tous les moyens y compris mettre la vie de l’honnête citoyen en danger, crève de nos jours les yeux. Hélas ! Notre pays est aujourd’hui livré à cette lutte entre camarades et entre partis politiques gloutons puisque n’arrivant à être rassasié après deux décennies de gestion dite « démocratique ». Mais ce qui fait le plus mal encore, c’est leur position et leur manière d’agir face à la situation qui pourtant ne doit pas diviser les maliens, car il s’agit de l’intérêt supérieur de la nation. Au lieu de s’investir pour la résolution de cette crise, certains politiciens se cachent derrière la démocratie, comme si il n’ya de maliens qu’eux. Quelle honte ! Ces hommes d’une autre génération qu’on a du mal à qualifier se sont démasqués avec l’arrivée du CNRDRE et els forces du changement le 22 mars dernier. Et c’est triste pour le pays, car ces fils dits « politiques » n’arrivent pas à s’entendre autour de l’essentiel :le Mali. Que dire, que cela se passe encore dans le pays de Soundiata Kéïta et de Babemba Traoré. Devenons- dans ce bilan macabre parlé de dignité ou de valeur. Il faut leur rappeler que ce sont dans les moments difficiles qu’on connaît ses amis. Aujourd’hui, on peut s’interroger à savoir si certains mesurent la gravité de la situation sinon à quoi servent les luttes inutiles sans merci qui ne font que remuer le couteau dans la plaie ?
A vrai dire, le constat qui se dégage est que les vrais ennemis du Mali demeurent cette classe d’hommes politiques et leur « presse » qui a été créée pour ce que nous connaissons aujourd’hui. Cela se justifie par leur position jusqu’au boutiste qui paralyse la nation. Malheureusement, ces gens-là, ne sont pas conscients de leur manœuvre machiavélique au moment où le peuple souffre de pénurie alimentaire et de manque à gagner. Avant tout le Mali reste une terre bénite et demeure un grand pays. Donc qu’ils le veulent ou pas, le MALI s’en sortira grand de cette crise