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Le Républicain N° 4733 du 7/11/2013

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Makan Koné, président de la Maison de la presse
Publié le vendredi 8 novembre 2013  |  Le Républicain




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On est encore indigné, choqué par ce qui s’est passé samedi. Mais en même temps, très heureux de voir la mobilisation des confrères autour du sujet qui nous touche. Nous sommes tous des Ghislaine Dupont et Claude Verlon. La décision de la marche a été prise de façon très spontanée. Nous avons voulu la faire aujourd’hui, parce que nous avons souhaité qu’elle se tienne pendant que les corps de nos deux confrères sont encore sur le territoire malien. Et puis, à témoigner en présence de nos confères venus de la France de tout notre soutien, et qu’ils voient un peu de tout ce que nous aussi, nous pouvons faire pour Ghislaine, Claude et pour Rfi. Par ce qu’à un moment donné, c’est des gens qui nous ont beaucoup soutenus. Au-delà de ça, c’est de la liberté de la presse qu’il s’agit. Je profite de votre micro pour remercier tout le monde: les journalistes, les ainés, les artistes qui sont là. Les hommes politiques qui ne sont pas là en tant qu’homme politique, mais en tant défenseurs des libertés tout court. Dans la déclaration, nous avons dit notre soutien à Rfi, à nos confrères tués, à France Médias Monde, nous avons dénoncé ce qui s’est passé et demander à ce qu’une enquête soit diligentée pour que toute la lumière soit faite sur ces crimes. Nous avons aussi dénoncé la situation à Kidal. Aujourd’hui, il faut dénoncer la situation à Kidal, une situation qui ne fait honneur à personne. La preuve, on est dans cette situation qui nous vaut tous d’être à cette marche.

B. Daou

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