A Kidal, dans le nord du Mali, depuis l'avancée militaire française en début d'année, le Mouvement national de libération de L'Azawad (MNLA) a repris position en ville et tient deux lieux stratégiques du pouvoir : le gouvernorat et les locaux de la radiotélévision nationale. Le mouvement armé a annoncé, en accord avec le Haut Conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l'Azawad (MAA), qu'il allait quitter les lieux le 14 novembre. Les autorités disent attendre des actes concrets.
Depuis le palais de Koulouba, le président IBK « attend que la décision soit suivi d'actes concrets », indique à RFI un proche du président de la République.... suite de l'article sur RFI