A Kidal, le MNLA, Mouvement national pour la libération de l'Azawad,a quitté le gouvernorat le 14 novembre, en fin d'après midi, malgré la contestation de militants qui ne voulaient pas lâcher « ce symbole » du pouvoir. Le mouvement azawadien a donc respecté la décision prise il y a huit jours à Ouagadougou, sous la pression de la communauté internationale. Bamako exigeait ce retrait des bâtiments publics pour reprendre les discussions avec les groupes armés.... suite de l'article sur RFI