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Que pensez-vous de l’attaque terroriste perpétrée contre l’Hôtel Radisson de Bamako?

Il s’agit d’une oeuvre de ceux qui sont jaloux de l’accord de paix et de réconciliation signé en juin.
C’est un acte anodin visant seulement les occidentaux.
Les services de sécurité maliens sont trop défaillants.
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Mali: "la communauté internationale nous oblige à négocier avec un groupe armé" (IBK)
Publié le jeudi 5 decembre 2013  |  AFP


© AFP par ERIC FEFERBERG
Le président de la République, Ibrahim Boubacar Keita en visite à Paris
Mardi 1 octobre 2013. Le président IBK, a été reçu à l`Elysée par son homologue français, François Hollande.


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PARIS, 4 décembre 2013 (AFP) - Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a déploré dans un entretien au Monde mercredi que la communauté internationale "oblige" Bamako "à négocier avec un groupe armé", en référence à la rébellion touareg du MNLA dont le fief, Kidal, échappe toujours au contrôle de l’Etat malien. "La communauté internationale nous oblige à négocier sur notre sol avec des gens qui ont pris des armes contre l’Etat", a déclaré M. Keïta. "L’Etat malien est contraint de négocier avec un groupe armé qui s’en vante, dans quelle commedia dell’arte sommes-nous?", a-t-il insisté, en évoquant ainsi la situation anarchique de la ville de Kidal, dans le nord-est du Mali. Les troupes françaises et africaines présentes au Mali depuis près d’un an, après avoir chassé les groupes islamistes armés qui occupaient le nord du pays, "ont vocation à aider le Mali à recouvrer son intégrité territoriale et sa souveraineté. Nous assistons hélas à une situation où la présence de ces troupes a empêché le Mali de rétablir l’autorité de l’Etat à Kidal, alors qu’il l’a fait à Gao et Tombouctou", les deux autres grandes villes du nord du pays, a déploré M. Keïta.

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