Rompre le silence. Mobiliser les énergies. Braquer les projecteurs sur les violences sexuelles auxquelles continuent d'être exposées des milliers de femmes sur les terrains de conflits. Et lancer, en tant que conjointes de nombreux chefs d'Etat, un appel aux Etats membres de l'ONU pour que cesse l'impunité des auteurs de viols, ces « crimes de guerre » ou « crimes contre l'humanité » définis par la Cour pénale internationale.
Tel était le pari de Valérie Trierweiller, la compagne de François Hollande, en conviant à une séance de travail, vendredi 6 décembre, les épouses des présidents ou chefs de gouvernement réunis à Paris pour le sommet de l'Elysée « pour la paix et la sécurité en Afrique ».... suite de l'article sur Le monde.fr