Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a déclaré ce jeudi que l’usage de la force dans le nord du Mali était probable, voire inévitable. Or, la France ne veut pas s’engager directement et privilégie l’option d’une intervention militaire africaine, soutenue par la communauté internationale.
Laurent Fabius, le ministre français des Affaires étrangères, a annoncé ce jeudi que l’intervention militaire contre les rebelles au Mali devrait arriver « à un moment ou un autre ». Ce dernier a insisté sur l’importance du rétablissement de la situation politique et de la légalité constitutionnelle au Sud pour reconquérir le Nord. C’est pour lui la première étape avant d’envisager toute intervention, au caractère inédit. « Le Mali, c’est une affaire extrêmement grave, car c’est la première fois que des terroristes de greffent sur des viles importantes et sont peut-être en situation de se greffer sur un État » a-t-il souligné lors d’une rencontre avec l’Association de la presse diplomatique, selon l’Express.... suite de l'article sur Autre presse