« Tout ce qui gît dans l’obscurité aspire à la lumière », disaient les anciens. Cet adage illustre parfaitement ce qui se passe actuellement au Mali avec ces découvertes macabres qui n’en finissent pas. En effet, deux semaines après la découverte d’un charnier à Diago, l’intraitable juge Yaya Karembé, chargé de l’instruction des crimes et exactions commis par les auteurs du coup de force du 22 mars 2012, vient encore d’exhumer quatre cadavres qui, dit-on, appartiennent au corps des Bérets rouges, exécutés et enterrés à la va-vite au cimetière de Hamdallaye, un quartier du sud de Bamako.... suite de l'article sur Autre presse