Face à une équation politique et militaire complexe dans le nord du pays, Bamako veut promouvoir une coopération renforcée entre les États de la bande sahélo-saharienne.
Il doit son élection à la promesse de défendre «la souveraineté» et «l’honneur» du Mali. Après cent jours d’exercice du pouvoir, c’est la déception qui guette Ibrahim Boubacar Keïta. Les flèches décochées à l’attention de Paris sur « l’exception kidaloise » et la complaisance française à l’égard des indépendantistes touareg du MNLA, à la veille du sommet Afrique-France de l’Élysée, n’auront pas suffi à rallumer l’enthousiasme des Maliens, à la veille du second tour d’élections législatives moroses.... suite de l'article sur Autre presse