Me Harouna Touréh, le premier déclaré avocat du général Amadou Haya Sanogo, se serait aussi, selon des sources crédibles, proclamé l’avocat du commissaire des islamistes rebelles et terroristes dans le nord du Mali. Après son arrestation à Tombouctou, d’où il a été conduit vers la capitale Bamako, où il est actuellement en détention. L’homme en question était celui qui décidait, au moment où la loi des terro-djihadistes battait son plein dans le nord du Mali, du sort de ceux qui étaient dans le collimateur de ces derniers pour des faits soi-disant violant les règles de l’islam. Il décidait les châtiments en récompense de l’acte indécent commis : Passer à tabac, couper des mains et jambes ou lapidation etc.
Aujourd’hui, ce dernier entre les mains de la justice malienne a un défenseur. Il s’agit bien de Me Harouna Toureh, l’avocat du Général qui semble friand des procès sensationnels juste pour le malin plaisir de se faire une renommée. Dans son entourage, il se ferait nommé l’avocat des causes perdues.