S’il est vrai qu’il ne se reproche rien, les allégations de l’ensemble des victimes de la promotion DEA 8 Droit Privé 2013 ne doivent pas inquiéter le sieur Mohamed Gakou. Il doit rencontrer l’huissier qui voulait lui donner la sommation interpellative, afin d’éclairer la situation de l’organisation hâtive des examens dans son établissement, sans préavis aux intéressés. Et sa gestion anti-pédagogique !
Le tout-puissant Directeur général de l’Institut des Sciences Politiques et Relations Internationales et de Communications (I.S.P.R.I.C), Mohamed Gakou, ne s’inquiète point du sort qui lui sera réservé par les plus hautes autorités de notre pays, qui ont juré de mettre un terme à toute sorte d’affairisme. Comment peut-on organiser des examens, comme il l’a fait, sans informer au préalable les intéressés ?
Comment faire des examens de DEA (Diplôme d’Etudes Approfondies) en simplement 4 jours (1ère session ; 2ème session ; grand oral ; petit oral et la soutenance, seulement en 4 jours ? Du jamais vu au monde ! Comment peut-on organiser une première et une deuxième session en l’espace d’un jour ? Comment peut-on faire une soutenance sans son Directeur de mémoire ? Comment imposer aux étudiants, contre leur gré, d’autres Directeurs de mémoire qu’ils n’ont pas choisis? Comment peut-on avoir un Directeur de mémoire sans que ce dernier ne réponde à un seul des messages des étudiants pour la validation de leurs thèmes de mémoire ?
Ces différentes questions doivent pousser le ministre de tutelle à envoyer rapidement des inspecteurs sur place, afin d’éclaircir la situation qui se passe dans la dite école.
Il est nécessaire de rappeler surtout la volonté des victimes d’user de tous les moyens de droit, afin que justice soit faite et que ce genre de pratiques cesse définitivement dans notre pays.