Le sommet de l'Union africaine (UA), qui s'est tenu à Addis-Abeba les 19 et 20 juillet, a permis aux acteurs du continent d'harmoniser leurs positions au sujet de la situation malienne. Et d'esquisser des solutions pour une sortie de crise pacifique.
Faute d’avoir encore réussi à trouver les clés de la crise malienne, le sommet de l’Union africaine (UA, les 19 et 20 juillet à Addis Abeba) a au moins permis d’y voir plus clair sur les intentions des uns et des autres et d’harmoniser les positions. C’est Alassane Ouattara, président en exercice de la Cedeao, qui a animé la réunion du Conseil de paix et de sécurité (CSP) de l’UA, qu’il préside également, le 14 juillet. Il s’était entretenu la veille avec Djibril Bassolé, le ministre des Affaires étrangères, grand artisan de la médiation burkinabè avec le président Blaise Compaoré. Le CSP a appelé à la formation d’un nouveau gouvernement d’ici le 31 juillet.... suite de l'article sur Jeune Afrique